Journée de la qualité et de la sécurité des soins en établissement de santé et en médecine de ville

La collaboration entre l’ARS Rhône-Alpes, la Haute Autorité de Santé, la CEPPRAL et l’Union Régionale des Médecins Libéraux a permis la mise en place d’une journée consacrée à la qualité et à la sécurité des soins en établissement de santé et en médecine de ville.

Lors de cette journée, trois axes principaux ont été abordés : les indicateurs de qualité des soins, la promotion de la bientraitance, et la sécurité des soins à travers l’implantation de nouveaux outils d’amélioration.

Lors de cette journée, quatre initiatives ont été récompensées :

  • Marc Moulaire, ingénieur risques et qualité a présenté une démarche, relative à la mutualisation et la communication d’indicateurs de qualité au sein d’un groupement de coopération sanitaire (GCS) de petits établissements ardéchois, baptisé Helpam.
  • Deux médecins généralistes, Marc Chanelière et Julien Duteil, ont présenté une expérience relative à la mise en place d’un système de déclaration et d’analyse d’événements indésirables graves en médecine de ville. L’objectif principal de ce projet était de créer, pour les généralistes, un système intégré de recueil et d’analyse de ces événements utilisant internet mais respectant la confidentialité.
  • Sur un poster Agnès Caillette-Beaudoin, médecin directeur du Centre associatif lyonnais de dialyse (Claydial), a présenté une “check-list” en dialyse qui a notamment permis de sécuriser le branchement des patients en unité de dialyse médicalisée (UDM).
  • Enfin, présentée par Christine Gayte, cadre supérieur de santé à l’hôpital de Lamastre, une démarche visant à favoriser la bientraitance et permettant de lutter contre la maltraitance a reçu un vif succès. Le procédé est d’abord passé par la mise en place d’une formation, puis la constitution de deux groupes de travail au sein de l’hôpital. L’un consacré à l’information et à la communication, l’autre à l’élaboration d’une charte portant sur la bienveillance, les bonnes pratiques, mais aussi sur les modalités d’un signalement de la maltraitance.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *